Cette semaine dans le Ouest-France, un zoom sur les services civiques, avec Noémie pour Lolayo !
« C’est une recherche de première expérience professionnelle »
On retrouve également Lise, Clément, Mélissa et William du Collectif Icroacoa Montaigu, ainsi que Jeanne pour Le Moulin Créatif.
Polyvalence, confiance et expérience
Ce n’est pas l’indemnité qu’ils touchent chaque mois pour 24 heures hebdomadaires, 580,64 €, qui les motive. « Sans les parents, ce serait difficile financièrement ! », déclare William. « Mais le service civique permet d’avoir, à côté, un job à temps partiel » , indique Lise. C’est le cas de Jeanne, employée par une association dans la préparation d’un festival d’art et de peinture, ou de Clément, auto-entrepreneur.
Tous sont ravis de l’expérience qu’ils vivent, et apprécient d’être accompagnés d’un tuteur. « Je peux faire mes preuves et appliquer ce que j’ai appris, le confronter au concret » , indiquent Noémie et Clément. « J’apprends à être polyvalente pour mener plusieurs projets. J’acquiers des compétences professionnelles » , ajoutent Jeanne et Mélissa. « On prend de l’assurance et de la confiance en soi », complètent Lise et Wil. Tous élargissent leur réseau dans le milieu associatif et professionnel.
À Icroacoa ou Lolayo, certains soutiennent et développent la communication. D’autres sont à la technique, à la régie ou encore gardent la mémoire de l’association. « Ils sont source de dynamisme en apportant leur regard et leurs compétences » , déclare Agathe Violain, chargée de la communication du Zinor. C’est un véritable plus pour ces deux associations qui déboursent, par service civique, seulement 107,58 € par mois. Voire moins si elles sont agrémentées Jeunesse et sport.
Ouest France – « Le service civique, un pas vers le monde du travail » – 18 avril 2017
https://www.ouest-france.fr/…/le-service-civique-un-pas-vers…